c’est le titre d’une chanson d’Anne Sylvestre parmi mes préférées et un aphorisme d’une grande actualité
Olivier Adam écrit – pour ce que j’en connais – magnifiquement des livres d’une tristesse infinie …
il commet aujourd’hui (13 mai) un billet sur France Inter que je ne résiste pas à vous partager tant il me paraît juste
soyons clairs :
quand on voit celui d’un certain nombre de pays d’Asie – Corée, Taïwan – ou même d’Europe – Allemagne, Autriche, Portugal –, il n’y a pas lieu d’être tellement fiers du résultat de la pandémie en France et il faudra tirer les leçons voire demander des comptes* de l’impréparation du pays, sur le plan matériel comme sur celui des procédures, à un évènement de ce type
mais, si l’on veut bien tenir compte de l’effet de surprise, de l’ampleur de la menace et de la rapidité de propagation du virus, on ne peut qu’admirer profondément tous ceux qui, en colère ou non, savent ce qu’il aurait fallu faire et, qu’en tous cas, il ne fallait pas faire ce qui a été fait …
Olivier Adam le dit beaucoup mieux que moi …
Daniel Gendrin
* ce serait un abus de droit – en régime de séparation des pouvoirs – de la part de la justice que de vouloir trancher de la politique du gouvernement ou des priorités budgétaires votées par le parlement ; les plaintes déposées contre les politiques dans ce dossier seront classées ; ces questions-là se tranchent devant le peuple lors des campagnes électorales – je rappelle qu’on vote dans 2 ans